Emmanuel Macron a interpellé Benyamin Nétanyahou, dimanche 19 novembre, sur les “trop nombreuses pertes civiles” occasionnées dans la bande de Gaza actuellement, a annoncé l’Elysée dans un communiqué. “Le président de la République a appelé l’consideration du Premier ministre israélien sur les risques humanitaires et les trop nombreuses pertes civiles liées aux opérations militaires en cours dans la bande de Gaza. Il lui a rappelé la nécessité absolue de distinguer les terroristes de la inhabitants et d’apporter une safety efficace aux civils”, rapport la présidence française. Suivez notre direct.
Emmanuel Macron a “condamné” “les violences contre les civils palestiniens” en Cisjordanie. Le chef de l’Etat s’est également entretenu avec le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Auprès du dirigeant palestinien, Emmanuel Macron a “condamné les violences” commissions “contre les civils palestiniens” en Cisjordanie, a précisé la présidence française. “Les deux présidents sont convenus de l’significance de ne rien faire pour affaiblir la Cisjordanie. Le chef de l’État a rappelé le soutien de la France à l’Autorité palestinienne, seule autorité légitime à représenter le peuple palestinien”a poursuivi l’Elysée.
Les “événements horribles” survenus à Gaza “dépassent l’entendement”, alerte l’ONU. “Les événements horribles” survenu ces dernières 48 heures à Gaza “dépasser l’entendement”a déclaré dimanche 19 novembre le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, qui estime que certaines actions de l’armée israélienne pourraient constituer des « crimes de guerre ». “Le meurtre de tant de personnes dans des écoles transformées en abris, des centaines de personnes fuyant l’hôpital al-Chifa pour sauver leurs vies alors que des milliers d’autres continuant d’être déplacées dans le sud de Gaza, sont des actions qui vont à la rencontre des protections élémentaires que le droit worldwide doit accorder aux civils”, at-il averti dans un communiqué. Suivez notre direct.
Médecins sans frontières condamne une “attaque délibérée” contre un de ses convois. Médecins sans frontières (MSF) a été condamné “avec la plus grande fermeté” dimanche dans un communiqué “une attaque délibérée” samedi contre un de ses convois qui évacuaient dans la bande de Gaza du personnel et de leurs familles. L’attaque a fait un mort et un blessé.
Plus de 30 bébés prématurés évacués de l’hôpital al-Chifa de Gaza. Les nourrissons ont été extraits de l’établissement, a annoncé dimanche à l’AFP Mohammed Zaqout, directeur général des hôpitaux de la bande de Gaza. Selon lui, “trois médecins et deux infirmiers les accompagnent” et “des préparatifs sont en cours pour les évacués vers l’Egypte” through le terminal de Rafah, l’distinctive ouverture sur le monde du territoire palestinien qui ne soit pas aux mains d’Israël, en guerre contre le mouvement islamiste Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza. L’hôpital al-Chifa, le plus grand de la bande de Gaza, visé par des raids israéliens, est devenu une “zone de mort”, a déclaré l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a demandé son évacuation.
La France va “évacuer” “des enfants blessés ou malades” de la bande de Gaza pour les accueillir dans ses hôpitaux. La France va mobiliser “tous les moyens à sa disposition” verser “contribuer à évacuer depuis la bande de Gaza vers ses hôpitaux des enfants blessés ou malades et qui ont besoin de soins urgents”, a annoncé l’Elysée, dimanche, dans un communiqué. “Des moyens aériens médicalisés, civils comme militaires, seront déployés à cette fin”, précise l’Elysée. Dans ce communiqué, l’Elysée annonce aussi “un nouvel affrètement d’un avion transportant plus de 10 tonnes de fret médical pour le début de semaine”.
Des “défis très mineurs” subsistent sur la libération des otages. La conclusion d’un accord sur la libération des otages enlevés par le mouvement palestinien Hamas lors de son attaque, le 7 octobre, contre Israël repose désormais sur des questions pratiques “mineures”, a affirmé, dimanche, le Premier ministre qatari, sans toutefois fournir de calendrier. “Les défis qui subsistent dans les négociations sont très mineurs (…) Ils sont plus logistiques, ils sont plus pratiques”a déclaré Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, lors d’une conférence de presse à Doha, aux côtés du chef de la diplomatie de l’Union européenne, Josep Borrell.