“L’objectif va être beaucoup plus easy”, a promis lundi la ministre déléguée aux Petites et moyennes entreprises.
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Le futur label “préparé sur place” sur le menu des eating places va coexister “un temps seulement” avec l’actuelle point out “fait maison”, a annoncé, lundi 13 novembre, Olivia Grégoire, ministre déléguée aux Petites et moyennes entreprises, devant des professionnels du secteur.
“Il va falloir qu’on définise ensemble le ‘préparé sur place’, et surtout qui soit relevant chez vous, parce que le ‘fait maison’ tel qu’on l’a construit, doté de toutes les exceptions et spécificités, est inapplicable . Là, l’objectif va être beaucoup plus easy”a assuré Olivia Grégoire.
Ne pas “brusquer” la occupation
La ministre a également émis le souhait d’“expérimenter, peut-être sur une région, l’Ile-de-France au hasard, le ‘préparé sur place’ pendant les Jeux olympiques et paralympiques”en prenant garde de ne pas “brusquer” le métier. Pour le lancement de ce futur label, “hors de query de faire ça en décidant uniquement depuis Bercy”, souligne Bruno Le Maire. “Nous lançons un travail de réflexion, avec l’objectif d’aboutir à une mise en œuvre dans les mois qui viennent. Cela prendra du temps parce qu’il y a beaucoup d’enjeux derrière”estime le ministre de l’Economie.
De leur côté, les membres du GGroupement des Hôtelleries et Restaurations de Francequi partagent le constat d’un label “fait maison” “qui ne marche pas”, estime que “le temps est venu de réviser les éléments methods” en acceptant qu’entrent dans les préparations labellisées des légumes blanchis ou champignons déshydratés, a rappelé le président du groupement, Didier Chenet.